Continuons nos commentaires sur les réflexions d'Antandrus. Vous pouvez lire la version originale
ici,
la V.F.
ici (dans la traduction de RamaR).
Arrivons au huitième point qui dit, dans la langue des Rolling Stones (ou des Beatles, c'est comme vous préférez) :
Logging in as an anonymous IP or sockpuppet, in order to vandalise a user page or leave a nasty personal attack, is a particularly despicable form of cowardice. If you have a problem with
someone, work it out in the open.
Ce qui donne dans la langue de Sim (ou de Stéphane Collaro, c'est comme vous préférez) :
Se connecter sous IP ou avec un faux-nez pour vandaliser une page utilisateur ou lancer des attaques personnelles est une forme particulièrement méprisable de lâcheté. Quand on a un problème
avec quelqu'un, on le règle face à face.
L'anonymat est la règle sur wikipédia. On crée un compte en choisissant un pseudonyme (certains en ont des rigolos, des courts, des longs, certains utilisent leur vrai nom, d'autres pas) et
personne ne demande qui se cache derrière. Cela constitue d'ailleurs un des points d'interrogation du grand public vis-à-vis de la fiabilité des informations mises en ligne (d'où le besoin de
sourcer ses informations, de manière précise et identifiable, ce qui pose un autre problème).
Les gens devraient se comporter sur Wikipédia, même cachés par leurs pseudonymes comme ils le feraient dans la vraie vie. Et il ne viendrait pas à l'idée de la majorité des gens de mettre une
cagoule pour aller faire exploser la maison de vacance d'un collègue avec lequel on s'est pris le bec autour d'un café. C'est pourtant exactement ce qu'il se passe avec les vandales dont parle
Antandrus. Comme il est aisé soit de contribuer sans se connecter sur un compte, soit de se créer un faux-nez et de rester inaperçu et incognito, la tentation est grande pour les lâches de
s'abriter derrière l'anonymat pour aller tenter de régler leurs comptes.